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Bonnie ‘Prince’ Billy I See A Darkness
Christophe Schenk

12 € ISBN 9782919296392

10 x 18 cm, 128 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2023 À paraître le 1er septembre

Des années Palace à la naissance de Bonnie ‘Prince’ Billy en 1998, Will Oldham aura changé autant de fois d’identité d’artiste qu’il aura signé d’albums. Fuyant une carrière ou n’ayant pas trouvé sa place, il n’a pour autant jamais cessé d’enregistrer ses chansons, multipliant les pseudos et les 45-tours. Difficile à pister dans ces conditions, il ne verra le suivre qu’un quarteron de fans, motivé par cette country dégagée de son folklore, un peu lo-fi, et une écriture souvent hissée parmi les plus grands noms de la chanson américaine. Avec I See A Darkness, l’alias se fixe enfin, à l’occasion d’un album ténébreux et lumineux à la fois.
Aidé de David Pajo (Slint, Papa M, Tortoise,...) et de son frère Ned, le Louisvillain sait transformer en un quart de seconde sa mélancolie et ses humeurs sombres en élégies fugaces et d’autant plus précieuses. La chanson qui donne son titre à l’album sera reprise par un Johnny Cash crépusculaire au milieu de sa grande série d’American Recordings et, plus curieusement, par la jeune Rosalia.

   

   

   

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Bonnie ‘Prince’ Billy I See A Darkness
Christophe Schenk

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12 € ISBN 9782919296392

10 x 18 cm, 128 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2023 À paraître le 1er septembre

 LISTE DES AUTRES TITRES 

Des années Palace à la naissance de Bonnie ‘Prince’ Billy en 1998, Will Oldham aura changé autant de fois d’identité d’artiste qu’il aura signé d’albums. Fuyant une carrière ou n’ayant pas trouvé sa place, il n’a pour autant jamais cessé d’enregistrer ses chansons, multipliant les pseudos et les 45-tours. Difficile à pister dans ces conditions, il ne verra le suivre qu’un quarteron de fans, motivé par cette country dégagée de son folklore, un peu lo-fi, et une écriture souvent hissée parmi les plus grands noms de la chanson américaine. Avec I See A Darkness, l’alias se fixe enfin, à l’occasion d’un album ténébreux et lumineux à la fois.
Aidé de David Pajo (Slint, Papa M, Tortoise,...) et de son frère Ned, le Louisvillain sait transformer en un quart de seconde sa mélancolie et ses humeurs sombres en élégies fugaces et d’autant plus précieuses. La chanson qui donne son titre à l’album sera reprise par un Johnny Cash crépusculaire au milieu de sa grande série d’American Recordings et, plus curieusement, par la jeune Rosalia.

 

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