12 € ISBN 9782919296422
10 x 18 cm, 96 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2023
« Entre la gazinière et l’évier : traditionnellement l’endroit privilégié pour aboutir un bon morceau. En duo, peinard, presque par hasard. Pour The No Comprendo, Catherine Ringer et Fred Chichin changent la dimension qui était la leur jusqu’au succès de « Marcia Baïla ». En travaillant une charpente rock-funk tirant vers des sons plus ronds, plus massifs aussi, mais sans tomber dans le piège de l’emphase pop. Le modèle des Rita Mitsouko n’est pas loin de la vision musicale développée par Prince ou Talking Heads : une machine à danser intelligente, qui sait envelopper le funk d’atours un peu « crashés » et syncopés ; une boule d’énergie, fulgurante et chic à la fois où l’écriture soignée tient le premier rôle avec, en second degré, une dance-music agitant pieds, bassin et mollets pendant quatre minutes de pur plaisir. »
« En faisant appel à un producteur au pedigree prestigieux, Tony Visconti (Bowie ou Iggy Pop, entre autres), le couple de musiciens met toutes les chances de son côté, et ça marche au-delà de tout espoir, les tubes s’enchaînent sans faiblir. Ils apparaissent au travail dans un Godard (Soigne ta droite) comme les Rolling Stones avant eux et se font remarquer outre-Manche et outre-Atlantique. »
12 € ISBN 9782919296422
10 x 18 cm, 96 p. broché,
couverture à rabats 2 couleurs
2023
« Entre la gazinière et l’évier : traditionnellement l’endroit privilégié pour aboutir un bon morceau. En duo, peinard, presque par hasard. Pour The No Comprendo, Catherine Ringer et Fred Chichin changent la dimension qui était la leur jusqu’au succès de « Marcia Baïla ». En travaillant une charpente rock-funk tirant vers des sons plus ronds, plus massifs aussi, mais sans tomber dans le piège de l’emphase pop. Le modèle des Rita Mitsouko n’est pas loin de la vision musicale développée par Prince ou Talking Heads : une machine à danser intelligente, qui sait envelopper le funk d’atours un peu « crashés » et syncopés ; une boule d’énergie, fulgurante et chic à la fois où l’écriture soignée tient le premier rôle avec, en second degré, une dance-music agitant pieds, bassin et mollets pendant quatre minutes de pur plaisir. »
« En faisant appel à un producteur au pedigree prestigieux, Tony Visconti (Bowie ou Iggy Pop, entre autres), le couple de musiciens met toutes les chances de son côté, et ça marche au-delà de tout espoir, les tubes s’enchaînent sans faiblir. Ils apparaissent au travail dans un Godard (Soigne ta droite) comme les Rolling Stones avant eux et se font remarquer outre-Manche et outre-Atlantique. »